Baïonnette de sapeur, armée suisse

CHF 140.00

Les confidences à l’Oncle Broc

“C’est moi la baïonnette ! on me fixe au canon du fusil d’assaut et en avant !”

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Description

Baïonnette de sapeur de l’armée suisse

Une baïonnette est une arme blanche qui se fixe au canon d’un fusil, le rendant ainsi polyvalent et adapté au combat rapproché. Cette arme remplace les piques et autres hallebardes servant à embrocher l’ennemi. Elles ont une longueur différente selon les époques et les besoins des différentes compagnies. Un fantassin n’aura pas la même baïonnette qu’un sapeur, par exemple.

Cet exemplaire effrayant avec ses dents en relief sur sa longue lame n’est en fait pas considérée comme une arme. Elle est plutôt utilisée comme un outil de travail pour le sapeur qui pourra découper des branches, des tôles, etc pour extraire un soldat blessé, par exemple.

Un nom curieux pour une dague à l’origine historique

La première baïonnette voit le jour à Bayonne en 1655. Cette ville d’abord célèbre pour son fameux jambon. La légende voudrait que des paysans à court de poudre ont fixé un coutelas au bout du canon de leur fusil pour se lancer ensuite dans une bataille au corps à corps.

Rapidement adoptée par les armées, la baïonnette est passée aux oubliettes lors de l’utilisation des grenades. Elle a toutefois retrouvé un usage militaire lors de l’apparition du mousqueton et des fusils d’assaut.

La baïonnette du mousqueton de l’armée suisse

Le père d’Oncle Broc a utilisé ce même type de dague lorsqu’il a effectué son école de recrue. À cette époque, les jeunes recrues n’échappaient pas à ce devoir qui durait 4 mois dès l’âge de 20 ans. Ensuite, le soldat devait participer à 3 semaines de cours de répétition chaque année pendant 9 ans.

 

 

 

 

 

Informations complémentaires

Poids 1.202 kg
Dimensions 64 cm