Baïonnette de l’armée suisse 1979

CHF 40.00

Les confidences à l’Oncle Broc

“C’est moi la baïonnette ! on me fixe au canon du fusil d’assaut et en avant !”

1 en stock

UGS : pce-1-1 Catégorie : Étiquettes : , , , , , , ,

Description

Baïonnette de l’armée suisse

Une baïonnette est une arme blanche qui se fixe au canon d’un fusil, le rendant ainsi polyvalent et adapté au combat rapproché. Cette arme remplace les piques et autres hallebardes servant à embrocher l’ennemi. Elles ont une longueur différente selon les époques et les besoins des différentes compagnies. Un fantassin n’aura pas la même baïonnette qu’un sapeur, par exemple.

Un nom curieux pour une dague à l’origine historique

La première baïonnette voit le jour à Bayonne en 1655. Cette ville d’abord célèbre pour son fameux jambon. La légende voudrait que des paysans à court de poudre ont fixé un coutelas au bout du canon de leur fusil pour se lancer ensuite dans une bataille au corps à corps.

Rapidement adoptée par les armées, la baïonnette est passée aux oubliettes lors de l’utilisation des grenades. Elle a toutefois retrouvé un usage militaire lors de l’apparition du mousqueton et du fusil d’assaut.

La baïonnette du fusil d’assaut de l’armée suisse

Oncle Broc a utilisé cette dague lorsqu’il a effectué son école de recrue, en 1980. À cette époque, les jeunes recrues n’échappaient pas à ce devoir qui durait 4 mois dès l’âge de 20 ans. Ensuite, le soldat devait participer à 3 semaines de cours de répétition chaque année pendant 9 ans. Il servait alors dans les troupes cyclistes et portait son fusil d’assaut en bandoulière sur son vélo qui n’avait qu’une vitesse mais disposait de trois freins !

 

 

 

 

Informations complémentaires

Poids 0.475 kg
Dimensions 38 cm